CHIFFRES CLÉS – CHRONOTACHYGRAPHE
Une réglementation connue… mais encore trop souvent mal appliquée
Les contrôles routiers et audits internes montrent que le chronotachygraphe est à l’origine d’un grand nombre d’erreurs évitables.
Ces erreurs proviennent rarement d’un manque de volonté, mais plutôt d’un manque de formation ou d’habitude dans l’utilisation quotidienne.
Quelques données à retenir :
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72 % des conducteurs déclarent ne pas maîtriser complètement leur chronotachygraphe (sources DREAL / organismes de contrôle).
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Près de 60 % des amendes liées au tachygraphe proviennent de saisies manuelles incomplètes ou erronées.
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1 conducteur sur 2 ne sait pas justifier une anomalie (oubli de code pays, rupture de signal, etc.).
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Environ 50 % des infractions “temps de conduite” sont dues à une mauvaise interprétation des règles européennes.
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Les sanctions peuvent aller de 90 € à 750 € par infraction, voire davantage en cas de récidive ou d’accumulation.
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Côté exploitation, près d’un tiers des entreprises contrôlées présentent des anomalies de téléchargement ou d’archivage des données.
Pourquoi se former ?
Parce qu’au-delà du respect des textes, maîtriser le chronotachygraphe permet de :
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gagner en sérénité lors des contrôles,
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éviter les sanctions et litiges,
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protéger juridiquement le conducteur et l’employeur,
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uniformiser les pratiques entre le terrain et l’exploitation.
💡 Comprendre le tachygraphe, c’est aussi mieux gérer son temps, réduire le stress et améliorer la productivité.
